Choisis-tu d'être une bonne ou une mauvaise personne ?
Es-tu une bonne ou une mauvaise fille ? Ce jeu nous invite à être ce que nous voulons être en prenant des décisions à la volée. Chaque décision compte pour ouvrir les portes du paradis… ou de l’enfer.
Ange ou démon ?
Good Girl Bad Girl est un jeu casual original aux graphismes simples en 3D dans lequel nous devons avancer dans un circuit rempli d’épreuves et d’obstacles. Le plaisir est que chaque décision fera pencher la balance du bien et du mal. À la fin du parcours, nous irons au paradis ou en enfer et nous obtiendrons les points correspondants en fonction de nos actions.
La mécanique est simple, mais légèrement différente des autres titres de ce style. Ici, la fille n’avance pas automatiquement, mais nous devons diriger sa progression en faisant glisser notre doigt sur l’écran. Si on lève le doigt, la fille s’arrêtera.
Collecte des objets, interagis avec les personnages, évite les obstacles et atteins la porte finale.
Au fur et à mesure de sa progression, elle doit collecter des objets et les utiliser ensuite. L’option marquée en jaune est bonne, tandis que celle en rouge est mauvaise. Au fur et à mesure que nous effectuons des actions, notre catégorie change.
D’autre part, nous gagnerons progressivement des récompenses, que nous pourrons échanger contre de nouveaux personnages. En outre, nous avons également la possibilité de décorer notre paradis ou notre enfer personnel. Sans aucun doute, ce jeu nous offre une expérience rafraîchissante, amusante, variée et hautement addictive. Il y a trop de publicités et aucune musique, mais malgré tout, cela vaut la peine de télécharger le fichier APK et de se laisser tenter.
Conditions et information supplémentaire :
- Système d’exploitation minimum requis : Android 6.0.
- Achats in-app intégrés.
Je suis diplômée en droit et en journalisme, avec une spécialisation en criminologie et en journalisme culturel. Une de mes grandes passions ce sont les applications mobiles, en particulier les applications Android. Depuis plus de six ans, je...
Angelo Chizzolini